goyave (f)
โกยาฟ(เวอ)
ฝรั่ง
grenade (f)
เกรอนาด(เดอ)
ผลทับทิม
poire (f)
ปัว(เรอ)
ผลสาลี่
pomélo (m)
ปอเมโล
ส้มโอ
pomme (f)
ปอม(เมอ)
แอปเปิล
pomme rose (f)
ปอม โรส(เซอ)
ชมพู่
Un poisson paradis dans un aquarium.
Le terme « poisson » est plus précisément employé pour désigner les chordés non tétrapodes, c'est-à-dire un animal avec une colonne vertébrale possédant des branchies toute sa vie et dont les membres, s'il en possède, sont des nageoires.[1]. Les poissons ne forment pas un groupe phylogénétiquement homogène, à l'inverse des oiseaux et des mammifères (voir plus bas).
Un poisson typique est « à sang froid » ; il possède un corps allongé lui permettant de nager rapidement ; il extrait l'oxygène de l'eau en utilisant ses branchies ou un organe respiratoire annexe lui permettant de respirer l'oxygène de l'atmosphère ; il possède deux paires de nageoires,les nageoires pelvienne et laterale, habituellement une ou deux (plus rarement trois) nageoires dorsales, une nageoire anale et une nageoire caudale; il possède une double machoire pour les gnathostone et simple pur les agnathe; il possède une peau généralement recouverte d'écailles ; il pond des œufs, la fécondation peut être interne ou externe.
Il existe de nombreuses formes et tailles de poissons : ce dragon des mers, proche de l'hippocampe, se confond avec les algues grâces à ses nageoires.
Chacune de ces caractéristiques comporte toutefois des exceptions. Les thons, les espadons et certaines espèces de requins sont entre sang chaud et sang froid, et peuvent élever leur température corporelle au-dessus de l'eau ambiante.[2] La forme du corps et les performances natatoires varient considérablement, des nageurs très rapides capables de parcourir dix à vingt longueurs de leur corps par seconde (thons, saumons) aux poissons très lents mais mieux manœuvrants comme les anguilles ou les raies) qui ne dépassent pas 0,5 longueur par seconde.[3] Plusieurs groupes de poissons d'eau douce extraient l'oxygène de l'air comme de l'eau en utilisant des organes variés. Les dipneustes possèdent deux poumons similaires à ceux des tétrapodes ; les gouramis ont un « organe labyrinthe » qui fonctionne de la même manière ; les Corydoras extraient l'oxygène par l'estomac ou l'intestin.[4] La forme du corps et la position des nageoires varie énormément, comme en témoigne la différence entre les hippocampes, les lophiiformes, les poissons globes ou les saccopharyngiformes. De même, la surface de la peau peut être nue (murènes) ou couverte d'écailles de différents types : placoïdes (requins et raies), cosmoïdes (cœlacanthes), ganoïdes, cycloïdes et cténoïdes.[5] Certains poissons passent même davantage de temps hors de l'eau que dedans, comme les périophthalmes qui se nourrissent et interagissent entre eux sur des terrains boueux et ne retournent dans l'eau que pour se cacher dans leur terrier.[6]
La taille d'un poisson varie du requin baleine de 16 m au Schindleria brevipinguis d'à peine 8 mm.
De nombreux mythes entourent l'origine des Jeux olympiques antiques. L'une raconte qu'Héraclès construisit le stade olympique ainsi que les bâtiments alentours en l'honneur de son père Zeus, après avoir accompli ses douze travaux. Il aurait parcouru 600 pas et nommé cette distance un stade, ce qui devait plus tard devenir une unité de longueur équivalente à environ 192 mètres. Les premiers Jeux olympiques sont réputés avoir pris place en 776 av. J.-C. sur l'initiative d'Iphitos, roi d'Élide. Cette année marque le début du calendrier olympique, selon lequel les années sont regroupées en olympiades. C’est également l'an 1 du calendrier grec adopté en 260 av. J.-C. Toutefois, il est probable que les Jeux aient été encore plus anciens, compte-tenu de l'abondance des offrandes de l'époque géométrique retrouvées à Olympie. Dès lors, les Jeux gagnèrent en importance dans toute la Grèce antique, mais il existe près de 300 réunions sportives du même type, les agônes. Les Jeux olympiques sont les plus prestigieux avec les Jeux pythiques, les Jeux néméens, les Panathénées et les Jeux Isthmiques.